Curaçao, le souriceau qui poaime


Flux et reflux

Calendrier

L M M J V S D
123
45678910
11121314151617
18192021222324
25262728293031

Sur la colline


Posté le 26/10/11 dans Photos - Paysage

Sur la colline, Kaivopuisto (Helsinki), juillet 2011

 


4 commentaires

Cartouches vides


Posté le 25/10/11 dans Photos - Things neatly organized

Cartouches vides, Paris, octobre 2011


8 commentaires

Sablés amandes et pistache


Posté le 25/10/11 dans Sucré - Sablés

Sablés amandes et pistaches

 

Pour : 40 pièces

Préparation : 30 min

Cuisson : 10 min

Difficulté : moyenne

 

 

Ingrédients :

-       50 g de pistaches

-       200 g de beurre mou

-       60 g de sucre glace

-       ½ càc de sel

-       1 càs de vanille liquide

-       70 g de poudre d’amande

-       250 g de farine blanche bio

 

Préparation :

Dans le bol du mixer, placez les pistaches en en réservant une poignée pour la décoration. Réduisez en poudre puis ajoutez le beurre mou, le sucre glace et le sel. Ajoutez la vanille liquide, la poudre d’amande et la farine, mixez à nouveau.

Préchauffez le four th. 6. Formez les sablés et déposez-les sur une plaque couverte de papier sulfurisée. Enfournez une dizaine de minutes en surveillant : retirez les sablés dès qu’ils commencent à brunir. 

Saupoudrez les sablés de sucre glace et miamez !

 


Ajouter un commentaire

Découpage


Posté le 24/10/11 dans Travaux manuels - Marque-pages

Motif dessiné en classe d'espagnol (mais je participais quand même Mam !)

Un des prix à gagner en participant au concours =D


Un commentaire

The Artist


Posté le 22/10/11 dans Au jour le jour - Outdoors

C'est en véritable bataillon que nous sommes allés voir The Artist au cinéma hier soir. Sept personnes et pas une qui pense la même chose que son voisin. Après une discussion des plus animées, il a été dit que le débat serait porté au virtuel. C'est donc chose faite.

Chapeau l'artiste

- un article à la mode télérama -

The Artist

Michel Hazanavicius

  POUR - J'avais tant et tant entendu parler de ce film que je suis aller le voir tenaillée par la peur d'être déçue. J'avais bien pris garde de ne lire ni critiques ni résumés, mais difficile d'éviter Jean Dujardin invité sur le plateau de Canal + ou interviewé dans le NouvelObs. Je savais donc qu'il s'agissait de noir & blanc et de muet. J'ignorais qu'il s'agissait de mon enfance. Je vous voir venir : "Eh l'autre, elle a 19 ans, même le Technicolor elle est née après !". Effectivement. Cependant, je me souviens bien des après-midi pluvieux d'automne en famille, serrés sur le canapé, à regarder de vieux films en noir & blanc et, plus rarement, muets. Même que j'ai longtemps cru qu'avant les années 60, le monde était en noir et blanc, comme dans Le Magicien des Couleurs.

Mais je m'égarre, revenons au film lui-même. On y suit George Valentin (Jean Dujardin), star du muet que l'arrivée du sonore rend obsolète. Tandis qu'il entame une descente aux enfers des plus tragiques, la jolie figurante Peppy Miller (Bérénice Béjo, adorable), autrefois croisée sur un tournage, lui vole la vedette et devient une star du parlant.

Le scénario est prévésible, il faut le reconnaître. Et la pellicule qu'il sert contre son cœur, et le majordome fidèle qui apparaît au bon moment, et la boîte en haut de l'armoire. Mais cela n'enlève rien au charme de l'action : on observe les acteurs évoluer sur l'écran, portés par la musique, incroyablement humains malgré leur silence, leur bichromie et l'époque qu'ils représentent. L'histoire d'amour impossible nous émeut, d'autant plus qu'on se doute qu'elle finira bien. C'est Hollywood après tout.

Et si il y a quelques longueurs dûe à des scènes qui se répêtent (le feu et la boîte, le petit-déjeuner conjugal…), le film mérite d'être vu et est ponctué de très beaux moments, je pense notamment à la scène du manteau, au rêve, à la fin (qui donne la pêche) et au superbe moment du tournage où, au fil des prises, l'acteur soudain désarçonné tombe amoureux de la figurante qu'il tient dans ses bras.

En conclusion, je tiens à féliciter Hazanavicius pour son culot et pour un autre de ses films, malheureusement par trop méconnu, j'ai cité La Classe américaine. Parce que de la classe, son film en a à revendre.

CONTRE - Allez lire l'article d'Olivier (et abonnez-vous à son blog tant que vous y êtes, ce type sait de quoi il parle).


7 commentaires

Connexion
Login :
Mot de passe :